Jenny Lewis

HEY! TELL ME WHO YOU ARE !

Nom : Lewis
Prénom : Jennifer Lee
Surnom : Jenny, Jen
Âge : 21 ans
Date de naissance : 10 avril 1986
Lieu de naissance : Los Angeles (USA)


BECAUSE EVERYONE HAS A STORY...

Famille :
Sur tous les papiers officiels, il est dit que Jennifer Lee Lewis est née et a grandit dans une famille à régime monoparentale, reconnaissant sa mère, Rachel Rosenfield, comme étant sa tutrice. Cependant, son père existe et est bien présent dans sa vie, ça aussi, c'est mentionné, mais en tout petit. Il se manifeste au moins une fois par an, et d'ailleurs, pour prouver sa bonne foi, il a reconnue son enfant lorsque Jenny est venue au monde. Tu parles, si Rachel n'avait pas menacé de porter plainte pour viol... Mais bon, le principal c'est que ce soit fait. Cependant, le recontrer relève plus de la corvée qu'autre chose, pour Jenny, qui soupire largement à chaque rendez-vous, et depuis sept ans, rêve de le tuer. Mais elle a obtenu sa vengeance, voilà deux ans, maintenant ça se passe mieux.
Pas de grands-parents du côté maternel, du côté paternel... Elle s'en fiche, donc n'abordons pas le sujet.
Sinon, à mentionner que Jenny est aussi l'heureuse demie-soeur de trois frères qu'elle ne connaît pas (ou presque, sinon le cadet, Karl mais dans un contexte plus... Enfin, cf l'histoire, ça sera plus simple).
Caractère :
Jenny est une peste. La pétasse dans toute sa splendeur, même, l'icône de la futilité et de l'insipide, celle qu'on haït et qu'on envie tout en même temps, d'avoir autant de culot, d'arrogance, et de classe. On aimerait avoir ne serait-ce qu'un dixième de l'assurance qu'elle présente, mais sa façon de rire à tout comme si c'était la blague de l'année, et de toiser le commun des mortels avec des yeux blasés et condescendants donnent envie de la trucider... Jenny est ce qu'on appel "un personnage".
La jeune femme est lasse de tout, et se saoule comme on respire pour essayer de voir la vie en rose. A force de boire, elle est d'ailleurs tellement habituée à l'alcool qu'il en faut une sacrée dose pour la voir rouler sous les tables. Généralement, elle danse plutôt dessus, légèrement chauffée par les vapeurs de l'alcool et les mâles en chaleur, regardant d'un oeil dégoûté ceux et celles qui ne tiennent pas la boisson tandis qu'elle, collectionne les verres.
N'oublions pas de dire que Jenny est un coeur à vif. Apprendre que son père avait trois autres enfants avec lesquels il vivait alors qu'il ne lui accordait qu'une infimme partie de son temps l'a plus profondement blessée qu'elle ne veut bien le dire. C'est d'ailleurs a partir de l'instant où elle a sut ça qu'elle est devenue celle qu'elle est aujourd'hui. Cependant, lorsqu'elle est sobre, Jenny sait être calme, à un tel point que s'en est presque effrayant, quand on la connaît "de nuit".
En fait, déprimée chronique, Jenny n'a trouvé à se réfugier que dans l'alcool pour ne pas s'être déjà rasé les poignets, et tant qu'elle n'est pas clean, cette solution lui convient parfaitement. Elle déteste être lucide, car elle se méprise.
Défaults :
Jenny est alcoolique. Voilà, c'est pas mal comme défaut, non ? On ne dira pas que c'est le seul, mais les autres sont principalement dut à ce fait. Chaque nuit, son taux d'alcoolemie monte à environs 4 gr/litre de sang, et ce, depuis si longtemps, qu'elle tient l'alcool comme personne. Arrivée à un tel taux, elle marche encore droit et parle sans bafouiller. Elle est juste parfois un peu lente à la reflexion (tu m'étonne, avec ce qu'elle tient...). Sinon, évoquons aussi sa rancune tenace, sa façon de parfois mettre les pieds dans le plat de la façon la plus gênnante qu'il soit, sa tendance à se vendre pour de l'argent ou des cadeaux de valeur, ...
Qualités :
"Des quoi ?" Voilà ce que répondrait Jenny si on lui demandait de donner quelques unes de ses qualités. Elle n'en a pas des masses, c'est un fait, mais elle en a quand même. Elle est premièrement terriblement lucide. Qualité ou défaut, on ne sait pas trop où classer ce fait, mais lorsqu'elle est sobre, Jenny se rend parfaitement compte de ce qu'elle est, et ne se juge aucunement supérieure à qui que ce soit. Ensuite, lorsqu'elle est ivre, elle garde toujours le contrôle de ce qu'elle fait, et s'en souvient parfaitement le lendemain, ce qui n'est pas donné à tout le monde. Grâce à on ne sait quoi, Jenny n'a jamais, ou presque, la gueule de bois un lendemain de cuite (presque tous les jours, quoi), c'est un miracle, et on serait plutôt tenté de mettre ça dans la catégorie "qualités". Pour finir, Jenny est très cultivée, l'air de rien, et son Q.I. est supérieur à 170, ce qui n'est pas rien.
... Ca va vraiment pas loin, au rayon "qualités", quand même, c'est triste...
Physique :
Selon les critères des canons de la beauté figés dans les pages glacées d'un magazine de mode "tendance", des normes futilles mais si importantes à nos yeux, imposées par la société dans laquelle nous vivons actuellement, nous pouvons dire que Jenny rentre parfaitement dans le moule, et même certifier qu'elle est belle, avec le charisme certain d'une alcoolique éméritée.
Assez grande de taille, puisqu'elle fait un mètre soixante dix-neuf, Jenny à un corps fin, bien proportionné, et aurait put aller postuler dans une agence de mannequinat si elle l'avait souhaité, mais là n'était pas son ambition, et son amour des bouteilles l'en aurait de toute façon empêché.
Petit visage aux traits fins, peau de pêche au teint frais légèrement halé grâce aux UV, nez aux ailes fragiles, yeux d'un noir profond terriblement envoutants, élégament surlignés par de grâcieux sourcils, petite bouche "mignonne à croquer", comme qui dirait. Cheveux fins, noirs de natures mais teins en rose depuis des années, arrivant vers le milieux du dos, que Jenny lâche souvent à la " 'porte naouak". Membres fins et grâcieux, taille bien placée et souple, ventre plats, longues jambes fuselées, petits pieds pour sa haute stature, cou de cygne et doigts de pianistes... Voilà
quelques autres caractéristiques de la jeune femme.

Histoire :
L'histoire de la petite Jenny débute à sa conception, il y à de ça exactement vingt deux ans, alors que Rachel Rosenfield, secrétaire médicale de son état, et Albert Lewis, réputé neurologue, homme marié et père de deux adorables bambins âgés de cinq et trois ans, font quelques heures supplémentaires en parlant turbin. Bien sûr, on y croit tous... Surtout que près d'un mois plus tard, mademoiselle Rosenfield ne voyant pas "les anglais débarquer", fait un test de grossesse, qui se révèle être positif. Ben bonjour les heures supp...
Annonce faite à son patron de la présence d'un corps étranger en elle, et oui monsieur, il est de vous, mademoiselle Rosenfield lui fait part de son intention de garder l'enfant. C'est qu'elle va doucement sur ses trente ans, elle n'a pas de mari, ses parents sont morts... Tout ce qu'elle a dans la vie, c'est son travail et Moka, une adorable bouledogue anglaise de trois ans, mais malheureusement peu bavarde. Monsieur Lewis est fort contrarié, cependant, les arguments de sa secrétaire se révèlent être très convainquants dans leur genre (...), aussi accepte-t-il les conditions de mademoiselle Rosenfield : il reconnaîtra l'enfant et versera une coquette pension alimentaire jusqu'à ce que ce dernier ait atteint sa majorité. Affaire conclue, on en parle plus.
Huit mois plus tard, l'accouchement finit par être médicalement déclenché : Jenny semble ne pas être décidée à sortir, aussi l'y obligera-t-on. Hop, administration d'ocytocine dans la perf, et il n'y à plus qu'à attendre que les contractions arrivent. Seulement, pas de chance pour miss Rosenfield, les anésthésistes sont en grêve, et adieu la péridurale... Après dix heures à faire morfler sa mère sur la table de travail, gambettes flanquées dans les étriers, Jenny finit par pointer son nez. Bravo madame, c'est une fille, trois kilos cinq cent et cinquante-deux centimètres, en pleine forme, entendez comme elle braille de tout ses petits poumons ! Voilà, Jennifer Lee Lewis est là.
La petite grandira entre maman et Moka, bercée par le bruit des voitures, les sirènes de la police et des pompiers de la banlieue de Los Angeles jusqu'à ses trois ans quand, ayant soutiré assez d'argent au géniteur de sa fille, Rachel peut s'acheter un pavillon dans un coin plus cossu, so wonderful !
Voyant son père ("qui ?") tous les 36 du mois, Jenny se passe très bien de lui, et ne se prive pas de faire remarquer à sa mère que le voir ne lui apporte rien, sinon un profond ennuis. Oui, mais de l'argent aussi, fait remarquer maman, très justement, alors, pour les besoins, Jenny, grand coeur, se sacrifie et continue à voir périodiquement son père, dont elle ignore tout, sinon le nom et qu'il exerce une profession dans le milieux médical. Mais il faut dire ce qui est, Jenny s'en tape. Enfin, jusqu'à ses onze ans... Là, sa vie prendra un tournant.
Admise à l'hôpital pour une fracture du radius (mademoiselle était grimpée sur le toit du garage pour aller chercher la balle de Moka, "très habillement" lancée), alors qu'elle attend dans le couloir d'effectuer une radio, Jenny entend prononcer le nom du docteur Lewis. Oh, peut-être un simple hasard, mais pour la fillette, l'idée qu'il puisse y avoir un autre "docteur Lewis" que son père n'effleure pas un instant son esprit. Poussée par la curiosité, Jenny fausse compagnie au service radiologie, et se renseigne efficacement auprès d'une infirmière ("oh, tu es la nièce du docteur Lewis ? Son bureau ? Il est au deuxième étage, en neuro, les ascenceurs sont au fond du couloir à ta gauche") et décide de lui faire une petite visite, "juste comme ça". Et voilà la petite fille, du haut de son mètre vingt-neuf, le bras en tapiocade et bourée d'antalgiques, poussée par la plus pûre des curiosités, qui se dirige vers le bureau de son père. Un interne de passage dans le couloir informe la petite Jenny que son "oncle" est en rendez-vous à l'extérieur, mais "qu'il ne devrait plus tarder, attend le dans son bureau". Chose dite, chose faite, merci monsieur, et Jenny s'introduit sans façon. S'installant dans le siège du neurologue, elle détaille les affaires se trouvant sur son bureau et découvre des photos. Surprise, effroi, et frustration se mêlent alors dans le coeur de la petite fille. Dans un cadre argenté, hideux au possible, une photo de son père, entouré d'une femme large à l'air mou (sa femme) et de trois gosses... Trois garçons qui lui ressemblent étrangement. Elle n'est pas la seule... Sa mère lui disait toujours que si elles ne vivaient pas avec son père, c'était parce qu'il était du genre a avoir un caractère difficile, toujours très prit par son travail... Oh, la menteuuuuuuse ! Vexée, et blessée au plus profond d'elle-même du fait qu'on lui ait caché ça, Jenny s'en va sans attendre de voir son père, et retourne dans le couloir de la radio, comme si de rien n'était. Elle a une boule au creu du ventre. On s'est joué d'elle, son père va le lui payer. C'est ce jour là que Jenny remise son innocence au placard pour devenir une petite peste arrogante, et commence à monter un plan, pour le faire souffrir comme elle souffre de sa découverte. Oui, le jour où elle mettra sa vengeance a execution, ça va saigner...

Jenny à maintenant dix-huit ans. Une fois de plus, son père a oublié son anniversaire, ça ne perturbe pas trop la jeune fille, mais depuis sept ans qu'elle se demande s'il oubli leurs anniversaires, à eux aussi...
Pour se faire "pardonner" de ses oublis et de son absence, son père a doublé le montant de la pension alimentaire. Enjoy. Jenny puise largement dedans depuis ses seize ans pour s'acheter vêtements, produits cosmétiques de luxes, et financer ses soirées, un peu trop arrosées, dans des clubs chics et branchés, où elle est connue comme le loup blanc. Sa mère se risque rarement à y mettre le ola et, un peu décontenancée, voit sa fille revenir dans des états lamentables, vêtue de pieds en cap de luxueux haillons... Pathétique.
Percée, tatouée, cheveux roses pêtants, habillée en Dior et complètement bourrée, c'est ainsi qu'en club, Jenny rencontre Karl. Plutôt beau garçon, avec peut-être deux ou trois années de plus qu'elle, la jeune fille s'en amourache pour la nuit, et se réveille dans ses bras le lendemain matin, dans la chambre d'un motel minable. Comme il va prendre une douche pour "se réveiller", Jenny en profite, curieuse, pour fouiller son porte-feuille. Il a près de quatre ans de plus qu'elle, et à sa grande surprise, sa conquête de la veille porte le même nom qu'elle, cependant, ce ne sont pas les Lewis qui manquent, en Californie, mais, intriguée, elle demande à Karl la profession de ses parents. Mère au foyer, et père neurologue... Un doute subsiste ? Pas pour Jenny, qui voit là un moyen d'accomplir la vengeance qu'elle concocte depuis des années, un moyen de toucher son père et de lui faire mal... Alors qu'elle comptait jeter Karl, comme tous les autres, une fois sorti de la douche, elle décide de le garder. Atout précieux dans son plan.
Après un mois de fréquentation assidue, Jenny tombe enceinte. Elle a dix-neuf ans dans une semaine. Pour la jeune fille, c'est un signe du destin. C'est par cet enfant qu'elle atteindra sa vengeance. La jeune femme met rapidement Karl au courant de sa future paternité et l'oblige a assumer son rôle, car il est hors de question de parler avortement ! Elle n'est pas une tueuse, tout de même. A contre-coeur, Karl accepte. Jenny insiste pour rencontrer sa future belle-famille, eh oui, elle ne va pas avoir un enfant hors mariage, ça serait très mal vu par le Seigneur ! Karl se résigne. La rencontre fatidique aura lieu le jeudi de cette même semaine.

Hmm, nous éviterons de trop nous étendre sur la chose, souvenirs douloureux, mais sâchez que ça se passa très mal. La découverte d'un lien fraternel choquat profondement le reste de la famille. Madame Lewis demanda le divorce, la garde du petit dernier (seul encore mineur) et une pension alimentaire. Karl rompit immédiatement ses fiancailles. Jenny n'en attendait pas moins, ça ne la perturba pas trop.
Lorsque tout fut fini, Jenny, alors à onze semaines de grossesse, décida de l'interrompre. Elle n'allait tout de même pas mettre un enfant au monde dans de telles circonstances. C'était pas un monstre, quand même... L'intervention eut lieu une semaine plus tard. Jenny s'en retrouva très étrangement très affectée. Elle sentait ce vide dans son ventre, à un tel point qu'il en était presque obsène. Pour ne plus y penser, la jeune femme fit très rapidement son come-back dans le monde de la nuit, abandonnant complètement la fac de lettres où elle était inscrite.

Aujourd'hui âgée de vingt et un ans, Jenny garde toujours ce mode de vie, mais sa mère ayant mit le ola par rapport à ses dépenses et bloqué son accès à son compte bancaire, la jeune femme à des dettes incroyables, mais elle préfère engloutir l'argent qu'elle gagne en divertissant les hommes (eh, on gagne sa croûte comme on peut) en produits de beauté, vêtements, bijoux, et bouteilles. Jenny est alcoolique chronique, ne vivant que de ses excès. Pas étonnant, finalement, qu'elle ait reçut une lettre, l'invitant à venir ici...
Relations sociales :
Quasiment nulles. Jenny ne fréquente presque plus personne, en dehors des habitués des clubs chics, chers et branchés où elle se saoule à longueur de temps, de ses souteneurs, dirons-nous pudiquement, et de sa mère et son père (quoi que ce dernier, ça soit de plus en plus rare...).
Elle n'aime pas les gens qui lui disent les choses telles qu'elles sont, du moment qu'elle est alcoolisée, elle ne veut voir que le positif : elle s'amuse facilement avec n'importe qui, danse, joue, rit, drague, et ouvre les cuisses au premier venu qui soit un peu à son goût, mais dites lui en face que ce n'est qu'une alcoolo nymphomane triste à pleurer et que vous la plaignez, et vous verrez que si Jenny n'a pas fait de sport depuis longtemps, autre que celui de chambre, elle a un très bon direct du droit...



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Nom de la personne sur l'avatar : Audrey Kitching
Dans quel groupe ton perso est : Invitées
Votre prénom : Alice
Votre âge : 20 ans
Où as-tu découvert Secret Life : Sur le net L__L
Que penses-tu de Secret Life : Je viens d'arriver, je ne peux pas me faire une idée immédiatement
Niveau de RP : Pas mauvais, mais je suis incappable de donner une note
Et le règlement dans tout ça : EDIT JESSIE CODE OK

Bienvenue
Merci d'avoir choisit Secret Life
Tout est parfait

Bienvenue !
J'adore la longueur de la présentation ^^ (mais j'ai la flemme pour le moment d'en lire le contenue ^^)

Merci à vous ^^